La première fille avait une morsure dans le cou. Selon la police, les analyses ADN désignaient son fiancé. Qu'importe ! la presse à sensation s'était tout de suite emparée de l'histoire : elle avait baptisé le tueur "Rottweiler" et le surnom lui était resté. Les activités imprévisibles de Rottweiler prpagent la suspicion au sein d'une petite communauté disparate : un assassin se cache parmi eux