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Livre 1 |
Un paysage de cendres 120
Résumé
Léa dit non. Elle ne veut pas rester au pensionnat de bonnes soeurs. Léa, petit diable de cinq ans, hurle, se débat, et un jour rencontre Bénédicte, son amie, sa soeur. A l'abri du monde, les fillettes s'amusent et font des bêtises. Dehors la guerre fait rage. Les bombes se taisent enfin, mais les parents de Léa ne reviendront pas. Le patronyme de Léa est Lévy.
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Gille Elisabeth |
1996 |
Large Vision |
693 |
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Livre 1 |
Adieu a tolede 145 (l')
Résumé
Il fait bon vivre à Recas, petit village d'Espagne écrasé de soleil. Les volets s'ouvrent avec la fraîcheur de la nuit... Les hommes se retrouvent au café, après les pénibles travaux des champs, et regardent les jolies filles passer... Antonia se l'est juré : elle épousera José, le plus bel homme de la province de Tolède ! Et ce n'est pas cette pimbêche de Maria-Luz qui va l'en empêcher! Après tout, elle est une Maùra, on ne peut rien lui refuser... José ne l'a pas refusée, la tendre Antonia. Mais après dix ans d'un bonheur sans faille, la guerre civile éclate. L'Espagne est coupée en deux. Républicains et franquistes ne se font pas de cadeaux. Les amis d'hier sont devenus les ennemis d'aujourd'hui... à Recas comme ailleurs. José se bat pour la République. Antonia se réfugie à Madrid puis à Barcelone. Ces deux êtres dévorés par la passion, emportés par l'Histoire, résisteront-ils à la tourmente .
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Bravo Christine |
1996 |
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719 |
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Livre 1 |
L'Enfant sous les étoiles
Résumé
En cette année 1942 qui voit les exécutions d'otages, l'arrestation massive des juifs, l'envahissement de la zone libre par les Allemands, est-il possible que ce village des landes girondines, entre les pins et l'océan, conserve sa confiance au Maréchal ? Est-il possible que Millette - elle a dix-huit ans - attende fidèlement le retour de son héros londonien alors que tant d'événements bouleversent son âme ? Est-il possible que les enfants des écoles restent indifférents au sort d'Odile, leur camarade, condamnée à porter l'étoile jaune ?
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Coulonges Georges |
1997 |
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883 |
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Livre 1 |
J'irai jusqu'au bout du monde 136
Résumé
Au cœur de la Namibie, par 52° à l'ombre, une jeune femme regarde s'éloigner la Jeep qui vient de la déposer. Désormais, elle aura pour seule compagnie les chevaux sauvages d'un désert impitoyable. Dès l'adolescence, cette Aixoise de bonne famille, écuyère émérite et musicienne, ne reconnut plus au monde de limites qu'elle ne saurait franchir. Ainsi passa-t-elle d'une enfance et d'une jeunesse choyée aux rudes sentiers de l'aventure, ainsi parcourut-elle la planète pour parvenir enfin là où vit, oublié de la civilisation, un troupeau de chevaux sauvages que nul n'a jamais approchés. Pour s'en faire accepter, pour apprendre à les connaître, Jacqueline a passé plusieurs mois parmi eux, seule, avec une petite tente pour tout abri contre les rigueurs et les dangers du désert. Mais il en faudrait davantage pour effrayer l'étonnante et frêle Jacqueline Ripart, qui semble ignorer le sens du mot peur. Aujourd'hui, après s'être arrêtée le temps de mettre la dernière main à ses "carnets de voyage", écrits sur le terrain, elle n'attend plus que la première occasion de repartir sur les chemins de la liberté. Décidément, le monde lui appartient ! Ou plutôt, comme elle le dirait, elle appartient au monde.
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Ripart Jacqueline |
1996 |
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508 |
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Livre 1 |
Vert est le paradis 115
Résumé
Près de Cécilia, qui n'a même pas l'âge de son fils, Étienne tente de retrouver l'illusion de la jeunesse. Mais quel est l'essentiel, pour un homme sur le second versant de la vie ? Comment lutter contre l'angoisse de se sentir exclu du courant, rejeté sur la rive, spectateur et non plus acteur ?Peu à peu, c'est dans le jardin conçu d'abord pour son plaisir qu'Étienne recherche les réponses : agir pour exister encore, créer pour laisser une trace en ce monde. Retrouver le contact primordial avec la terre, planter un arbre qui s'élance vers le cielà Sa nouvelle passion le dévore, absorbe toutes ses heures. Un jardin, étrange rival pour une jeune femmeà
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Vincent Rose |
1996 |
Large Vision |
688 |
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Livre 1 |
Montana 1948 125
Résumé
Le jeune David, de ses yeux d'enfants, nous narre un drame familial qui petit à petit se révèle à ses yeux. Son père est shérif, et son oncle, médecin, pas aussi parfait qu'il le pensait. Ambiance des Etats- Unis profonds en 1948, quand le racisme est encore bien présent. Un livre agréable à lire, même s'il n'existe guère de suspense.
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Watson Larry |
1996 |
Large Vision |
599 |
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Livre 1 |
Hymnes à l'amour
Résumé
Pourquoi le père d'Anne a-t-il demandé, dans son testament, qu'on donne à une certaine dame résidant à Genève le disque bien connu d'Edith Piaf Hymne à l'amour ? Pourquoi la même chanson a-t-elle une si grande importance pour sa mère, comme si elle avait été l'hymne national d'une passion défunte? Plus tard, bien plus tard, Anne partira pour Genève, à la recherche de la mystérieuse dame qu'avait aimée son père. Ce beau livre, écrit avec tendresse, recèle bien d'autres histoires. Par exemple celle de Madeleine, qui avait illuminé les jeunes années de l'auteur. Il était si doux, pour les enfants, de se blottir contre ses jolis seins. Malgré la déchéance finale de Madeleine, elle aussi inspire un hymne à l'amour.
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Wiazemsky Anne |
1996 |
Large Vision |
1434 |
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Livre 1 |
Mais t'as tout pour etre heureuse 118
Résumé
" Ce matin vous vous extirpez de dessous la couette avec fougue parce que l'homme n'est pas là. Parti à la campagne planter une centaine de pommiers. Qu'il a dit... Vous faites deux pas sur la moquette. Et d'un bond vous vous recouchez. " Assaillie plus que de coutume par ses compagnes des mauvais jours, " sueur angoisse " et " pieuvre géante ", Madame réalise qu'il est grand temps de consulter. Que faire de sa vie lorsque ses enfants sont grands et que son mari est parti planter des pommiers ? La dépression est un mal bourgeois, peut-être ? À coup de considérations avisées sur le genre humain, entrecoupées de lucides analyses de ses états d'âme, notre héroine s'en sortira et nous entraînera dans de grands éclats de rire.
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Buron Nicole de |
1996 |
Large Vision |
690 |
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Livre 1 |
Garenne (La)
Résumé
Ce livre est un rappel de ces jours heureux où le temps des vacances nous semblaient sans fin. Roman ou biographie courte de Jeanne Bourin qui se lit avec un mélange de parfum d'antan où l'on se retrouve un peu dans ces affaires de famille et ces moments de liberté. Agréable, frais et tellement différent des autres livres de jeanne Bourin, j'avoue avoir passé un moment sympatique et décontractant. Un livre pour l'été.
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Bourin Jeanne |
1995 |
Large Vision |
856 |
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Livre 1 |
37°2 le matin 150
Résumé
Ils avaient annoncé des orages pour la fin de journée, mais le ciel restait bleu et le vent était tombé. Je suis allé jeter un œil dans la cuisine pour vérifier que les trucs collaient pas dans le fond de la casserole, mais tout se passait à merveille. Je suis sorti sur la véranda armé d'une bière fraîche et je suis resté quelques instants avec la tête en plein soleil. C'était bon, ça faisait une semaine que je prenais le soleil tous les matins en plissant des yeux comme un bienheureux, une semaine que j'avais rencontré Betty.
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Djian Philippe |
1996 |
Large Vision |
954 |
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Livre 1 |
Crime des peres (le) 140
Résumé
Le Crime des pères. J'ai toujours écrit pour éviter de vivre. J'ai toujours fui mon angoisse dans les livres, lesquels contiennent ma vie la plus profonde. Aujourd'hui je n'écris pas une biographie, je ne rassemble pas des souvenirs. S'agit-il d'un roman ? D'une enquête ?Je tente plus simplement de reconstituer un récit qui se déroule à mon insu. Ma démarche relève autant de l'imagination que du témoignage. J'ignore même ce que je cherche. Je suis et je poursuis les mots et, si je m'écarte de la partition, la musique sonne faux. Ainsi ai-je accepté de retourner en Espagne, à Huesca où j'ai vécu à la fin de mon adolescence une histoire tissée d'énigmes et jamais achevée.J'aurais dû me méfier, pressentir que j'allais régler un dernier compte, mon propre compte évidemment. M.D.C.
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Castillo Michel del |
1993 |
Large Vision |
767 |
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Livre 1 |
Ou il n'est pas question que d'amour 140
Résumé
Aux Chroniques de Billancourt faisaient suite, dans les manuscrits de Nina Berberova, ces nouvelles dont l'action se situe à un moment où la dépression ébranle une fois encore le petit monde de l'exil qui avait commencé à s'organiser autour des usines Renault. On y retrouve la vivacité du regard, la perfection du trait, l'art de la narration qui ont si souvent conduit les critiques du monde entier à comparer Nina Berberova à Tchekhov ou à Tourgueniev. On notera que si les Chroniques de Billancourt précédaient les " petits " romans (telle l'Accompagnatrice), les récits que voici en sont contemporains. C'est dire que la maîtrise de l'écrivain a déjà atteint son plus haut niveau. Comme pour les Chroniques de Billancourt, cette édition est la première jamais réalisée, les récits n'ayant paru - en russe - que dans des publications périodiques au moment où ils étaient écrits. Un ouvrage important donc dans l'édition de l'oeuvre complète de Nina Berberova, en cours de réalisation depuis 1985.
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Berberova Nina |
1996 |
Large Vision |
651 |
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Livre 1 |
Belle grand-mère
Résumé
Tous les personnages sont attachants, Babou la grand-mère est le personnage central, elle établi un lien entre tous avec beaucoup d'écoute et de coeur. Lorsque sa famille envahissante lui en laisse le choix, elle peint des tableaux et des coffres de rangements. Le grand-père Grégoire dit le Pacha, commandant retraité de la Marine nationale, un peu solitaire et militaire, est passionné de Scrabble mais ne veut pas reconnaître le talent pictural de sa femme Babou. Ces merveilleux grands-parents sont à l'écoute de tous avec beaucoup de discrétion. Autour d'eux, les enfants et petits enfants ne sauraient vivre bien loin de cette maison chaleureuse. Toutes leurs scènes de vie sont traditionnelles et font vivre ce roman comme une source qui apaise et qui détend car il y a une solution à tout, d'après Babou ! Un roman très actif qui nous donne envie de partager, l'espace d'un moment, le calme à l'ombre des arbres d'un jardin que l'on sent très fleuri. Quand vous aurez lu celui-ci, vous allez vous précipiter pour acheter les 3 autres volumes, tous aussi passionnants que le premier. Je parle de : "Chez Babouchka" le N° 2, "Toi, mon Pacha", le N° 3 et "Allô, Babou... viens vite! On a besoin de toi" qui clôture, hélas, la saga.
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Boissard Janine |
1996 |
Large Vision |
1022 |
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Livre 1 |
Yeux baissés (les)
Résumé
Les Yeux baissés. Dans l'âpre dénuement d'un village berbère du Sud marocain, une petite fille - la narratrice - s'affronte à sa tante, incarnation du mal, découvre la cruauté, rêve à son père parti travailler en France et porte en elle un indicible secret, laissé par l'arrière-grand-père : celui du trésor enfoui clans la montagne et qu'elle seule, au nom du village, pourra découvrir... Un jour d'après drame, le père revient de "Lafrance" pour arracher toute sa Famille au désastre du village et la ramener à Paris, dans le quartier de la Goutte d'Or. La narratrice, dès lors, découvre un univers qu'elle ne soupçonnait pas : les voitures et la pluie, mais aussi les livres et la langue française, l'égoïsme raciste des uns, la générosité des autres, et l'amour... Ce long apprentissage, cette "deuxième naissance", marque aussi un lent, un irrésistible déracinement, qui laissera l'ancienne "petite fille" dans l'ambiguïté d'un territoire nouveau : un " troisième lieu " qui n'est ni la terre natale ni le pays d'adoption. Dans ce grand et ample roman de la maturité, Tahar Ben Jelloun conjugue tous les thèmes qui ont nourri son oeuvre : le déracinement et l'exil, la fatalité du malheur, le déchirement entre deux cultures, la condition des femmes. Celles qui vivent encore les yeux baissés...
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Ben Jelloun Tahar |
1996 |
Large Vision |
1041 |
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Livre 1 |
Dieu et les hommes 120
Résumé
Au nom de Dieu Amour, dit l'abbé Pierre, tu aimeras. Au nom des hommes, dit Bernard Kouchner, tu en sauveras un, même si tu ne peux les sauver tous. L'un est un prêtre de Dieu, l'autre a cherché Dieu dans toutes les horreurs et trahisons du monde et ne l'a pas trouvé. L'un et l'autre sont les révolutionnaires de la charité et de l'aide humanitaire ; l'un et l'autre sont écoutés car ils sont de ceux, si rares, qui allient contre tous les obstacles la parole à l'action, la générosité au courage. Ils nous disent combien il est urgent de sortir de nos maisons, de nos égoïsmes, de nous réveiller, de nous lever et de tendre la main. A qui appartient la souffrance des hommes ? Ni à leurs bourreaux, ni à leurs gouvernements. Elle appartient aux autres hommes.
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Abbé Pierre |
1996 |
Large Vision |
582 |
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Livre 1 |
Testament francais 145 (le)
Résumé
Je me souvenais qu'un jour, dans une plaisanterie sans gaîté, Charlotte m'avait dit qu'après tous ses voyages à travers l'immense Russie, venir à pied jusqu'en France n'aurait pour elle rien d'impossible [...]. Au début, pendant de longs mois de misère et d'errances, mon rêve fou ressemblerait de près à cette bravade. J'imaginerais une femme vêtue de noir qui, aux toutes premières heures d'une matinée d'hiver sombre, entrerait dans une petite ville frontalière. [...]. Elle pousserait la porte d'un café au coin d'une étroite place endormie, s'installerait près de la fenêtre, à côté d'un calorifère. La patronne lui apporterait une tasse de thé. Et en regardant, derrière la vitre, la face tranquille des maisons à colombages, la femme murmurerait tout bas : "C'est la France... Je suis retournée en France. Après... après toute une vie". Ce roman, superbement composé, a l'originalité de nous offrir de la France une vision mythique et lointaine, à travers les nombreux récits que Charlotte Lemonnier, "égarée dans l'immensité neigeuse de la Russie", raconte à son petit-fils et confident. Cette France, qu'explore à son tour le narrateur, apparaît comme un regard neuf et pénétrant sur le monde.
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Makine Andreï |
1996 |
Large Vision |
840 |
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Livre 1 |
Destruction d'un coeur 110
Résumé
Avec Maupassant pour modèle, Stefan Zweig s'est attaché, selon ses propres mots, à donner à chacune de ces trois nouvelles toute " la substance d'un livre ". Dans " Destruction d'un coeur ", un vieil homme ne se résout pas à admettre que sa fille devienne adulte. Il se laisse consumer par une jalousie qui, peu à peu, l'isole de ses semblables. Romain Rolland voyait là l'une des " plus lucides tragédies de la vie moderne, de l'éternelle humanité ".Dans " La gouvernante " et " Le jeu dangereux ", c'est encore la cruauté des rapports entre générations - mais aussi l'intelligence immédiate des enfants face aux choses de la vie ou le refus de vieillir - que Stefan Zweig met en scène.
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Zweig Stefan |
1996 |
Large Vision |
834 |
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Livre 1 |
Marche lente des glaciers 140 (la)
Résumé
Vous allez voir et suivre l'entrée en vieillesse de vos parents ...ce livre est une merveille de tendresse et de réflexion sur la situation non, ce qui est arrive pour aussi douloureux que ce soit ne doit pas être source de désolation. Accompagnez le mieux possible ce lent glissement ...et surtout gardez en mémoire le souvenir des jours ou ils avaient la pleine puissance de l'adulte et tout le bon que vous avez vécu avec, par, et à travers eux ...
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Rouanet Marie |
1996 |
Large Vision |
783 |
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Livre 1 |
Palais des rêves (Le)
Résumé
Rejeton d'une illustre famille de grands serviteurs de l'Etat, Mark-Alem est embauché dans la plus secrète, la plus puissante, la plus terrifiante institution qui se puisse imaginer : une administration chargée de collecter, jusque dans les provinces les plus reculées, les songes de tout un chacun, de les rassembler dans un lieu unique, puis de les trier, de les classer, de les interpréter, afin d'isoler ces " maîtres-rêves " dans lesquels le destin de l'Empire et de son tyran pourra être déchiffré. Cercle après cercle, Mark-Alem est promu dans les instances concentriques de ce haut lieu de pouvoir, jusqu'à en devenir le maître tout-puissant. Mais un maître hanté par la crainte d'être à son tour broyé par la bureaucratie infernale qu'il dirige : ne finira-t-il pas par lire un jour, dans le rébus de quelque rêve anonyme, la disgrâce et la condamnation de sa propre famille ?
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Kadaré Ismaïl |
1996 |
Large Vision |
913 |
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Livre 0 |
Monde à peu près (Le) |
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Rouaud Jean |
1998 |
Large Vision |
452 |