Le mal, depuis l'éveil de l'homme à la conscience, est source de révolte. La figure de Job, dont part la réflexion de l'auteur, en est l'expression symbolique la plus forte. Depuis lors, l'homme s'est attaché à interpréter l'énigme du mal. Philosophies et théologies ont été mises à contribution. Jésus, lui, n'a pas donné de théorie sur le mal, il l'a affronté. Ainsi l'espérance chrétienne qui, en Christ, condamne le mal, sans tout en expliquer, invite-t-elle, désormais, à le combattre. Plusieurs questions inévitables ne cessent de revenir dans le débat sur le mal. Elles sont ici abordées en annexes : le péché originel, la réincarnation, l'enfer, la faiblesse de Dieu.