Le 4 novembre 1924, Guillaume Seznec est condamné aux travaux forcés à perpétuité pour un crime sans cadavre, sans armes et sans aveux. Jusqu'à sa disparition, en 1954, il clamera son innocence. Depuis, les Français n'ont jamais arrété de se passionner pour cette affaire devenue, tout comme l'affaire Dreyfus, le symbole de l'erreur judiciaireà