"Vous en concluez que le poison a été introduit dans le gâteau. C'est ça ?" Je ne trouvais pas la force de lui avouer que là non plus, aucune trace de cyanure n'avait été décelée dans les miettes du framboisier. Elle ne m'en a pas laissé le temps, de toute façon. "Un gâteau qui a été partagé en quatre par la victime elle-même ? Laissez-moi rire, mon petit Yann !" Je l'ai laissée. Trois petits gloussements. Puis elle a dit : "Moi je sais comment on l'a empoisonné, ce violoniste !"