Le récit de Tony Cartano est autobiographique. On peut lire une tentative de raviver le souvenir et d'écrire ce qui lui reste de ce père, homme inaccessible et mystérieux, aux allures de héros. Sur fond de guerre civile espagnole, d'immigration espagnole en France, l'auteur tente de se réapproprier des souvenirs qu'il a dû mal à analyser.